Désireuse de célébrer les fastes de la Renaissance italienne, la marque de bougies d’ambiance haut de gamme Baobab signe une collection éclatante, aussi originale qu’inspirante. Un nouveau coup de cœur olfactif et esthétique pour Oscar-Home, plus encore : un véritable voyage dans le temps.
Venise ou Rome ?
Précieuses, élégantes, étonnantes, les bougies Baobab occupent une place privilégiée dans l’univers Oscar-Home. Conçues comme des objets de luxe, elles charment les sens, nous emportent vers un Ailleurs onirique inspiré d’autres contrées, d’autres paysages … ou d’autres époques. Avec ses gammes dédiées à la Renaissance italienne, Baobab nous projette au cœur du XVIeme siècle triomphant, quand les flambeaux des maîtres-ciriers faisaient vibrer les candélabres magnifiés par les artistes verriers vénitiens. La série Filo rend hommage à ces savoir-faire séculaires : sur des pièces de verrerie opaline or, grise ou mauve, de délicats fils de verre noir s’incrustent, prennent vie tandis que les mèches échauffent la matière et l’éclat des flammes.
La bougie Roma nous ouvre les portes de la Ville Éternelle, où les bâtiments baroques dialoguent avec les ruines latines dont ils s’inspirent. Le modèle créé par l’illustrateur Thierry Larcher superpose les arches du Colisée et les colonnes du Vatican dans une sérigraphie d’une grande finesse où l’or et l’argent se répondent. La série Damassé déroule quant à elle les motifs stylisés des velours de Damas décorant les grandes demeures princières italiennes. Rouge, violet, noir, or, à peine allumées, ces bougies modifient les surfaces, métamorphosent les volumes, subliment les intérieurs : nous voici soudain dans le salon d’apparat d’un cardinal, le cabinet de travail d’un ambassadeur, l’alcôve d’une courtisane romaine …
L’esprit des Borgia
Impossible d’évoquer la Renaissance italienne sans convoquer l’esprit des Borgia. Un choix audacieux ? Manipulateurs, assassins, incestueux, ces derniers ont une réputation sulfureuse ; pourtant, Rodrigo, futur pape Alexandre VI, fut un mécène raffiné, promoteur assidu des arts … et des industries haut de gamme de l’époque. Il inculqua ces valeurs humanistes à ses enfants Lucrezia et César, qui protégèrent des génies tels Léonard de Vinci, ou les influencèrent : César Borgia servit de modèle au diplomate florentin Machiavel pour écrire Le Prince. Pour restituer l’aura de profils aussi brillants et atypiques, Baobab a associé des alliages olfactifs d’une rare subtilité avec un jeu de gravures géométriques croisant les fleurs du pouvoir et les diagonales de l’intelligence.
Les vases de la collection Borgia évoquent les ciselures des pièces d’orfèvrerie de l’époque, les chevrons ouvragés des pourpoints, la complexité des broderies sur les robes chamarrées. Pour Rodrigo le pontife, brillant stratège et prince retors, on a misé sur un cocktail à la fois doux et ferme de patchouli, coriandre et fève tonka, dont les subtilités se reflètent dans un violet profond, couleur mystique par excellence. Pour César le conquérant, encens, cèdre et ambre se mélangent dans un réceptacle gris, évoquant les nuances du pouvoir, le métal des armures, la force de la volonté. Pour la belle Lucrezia, un jaune doré rehausse le galbanum, l’iris, le vétiver, signifiant l’éclat de cette féminité solaire telle que l’a dépeinte Pinturicchio.
Convoquer les sens, traverser le temps, se projeter dans un siècle à nul autre pareil, éprouver cette élégance visionnaire, cet art de vivre initiateur du luxe moderne. En conjuguant très subtilement sophistication des alliages de parfums, motifs raffinés et symboliques, techniques de fabrication ancestrales, la nouvelle expérience synesthésique imaginée par Baobab ne pouvait que séduire l’équipe d’Oscar-Home par son approche inédite, sa puissance évocatoire. Et vous, vous laisserez-vous emporter ?